OBRECHT Joseph ancien «BOTT» (appariteur) de la corpo- ration des agriculteurs
avait acheté cette ferme à HELLMANN Ignace en 1955.
Pendant la 2ème guerre mondiale, les chevaux furent réqui- sitionnés. On utilisa
alors des boeufs pour les travaux des champs. Et c'est OBRECHT Joseph qui se chargeait
d'initier les boeufs aux différentes tâches agricoles.
Cette ferme fut exploitée jusqu'en 1981.
La ferme a été construite en 1926 par ANDRES Jules, propriétaire également de la
scierie voisine (place de la Scierie) qui fut démolie par la ville d'Erstein en 1980.
L'enfilage du tabac dans la chaleur du mois d'août.
Cette ferme est actuellement exploitée par FENDER Jean, qui est pendant son temps
libre membre actif de la section carnavalesque et théâtrale de l'association Saint-Martin
d'Erstein.
Le défilé du messti passait autrefois devant les dépendances de la ferme. En
bas à droite de la photo, on peut voir la barrière du pont qui enjambait le «Grawe»
(fossé).
A cote de cette ferme se trouve la place de la scierie. Là-bas gisaient entassés
des troncs d'arbres gigantesques, dans l'attente d'être débités en planches ou en
madriers. Avec ses multiples coins et recoins, c'était naguère l'endroit rêvé pour
les jeux de cache-cache et d'escalades.
Cette maison a été construite par NEFF Martin et ESSER Louis en 1842.
Deux porte-drapeaux sont fixés sous les fenêtres donnant sur la rue. Les agriculteurs
sortaient leurs drapeaux lors des grandes occasions (fête nationale, procession,
Messti…)
A côté du portail se dresse un Bildstock. Il est orné d'une croix et d'une Piéta.
Ce Bildstock a sans doute été érigé à la suite d'un accident, bien que nous n'en
ayons aucune trace écrite. Inscription : FN/1747.
Nom de ferme : Schmitt Lenz
Adresse : 34 rue du 28 Novembre
Propriétaire : RINGEISEN François
Cette ferme est encore exploitée par RINGEISEN François et son épouse.
Cette grande ferme a une porte cochère permettant le passage des véhicules dans la
cour. À côté, une porte piétonne surmontée d'un linteau en grès portant les inscriptions
(MAV 1773). Devant la maison d'habitation se trouvait une maison alsacienne qui a
cédé sa place à la fontaine des bergers.