Unique étude inédite et existante concernant la qualité de l’eau en B.E.V. de la
Résurgence du « Sauerbrunnen » à Erstein
31 janvier 1998 au 30 juin 1999
Résumé du document
But de cette étude
Le respect et la sauvegarde de notre patrimoine naturel alsacien, très sensible aux multiples et diverses pollutions et agressions, est essentiel. L’environnement et l’eau en particulier, sont des éléments capitaux pour la vie, de la survie de l’homme et de notre planète. En tant que spécialiste de l’eau Il m’a paru indispensable d’apporter ma contribution par des mesures de la qualité de l’eau de notre résurgence si particulière qui se trouve sur le ban F-
Conditions de travail
Le but était de faire 12 mesures mensuelles d’affilée, ce qui m’a permis une étude comparative, étalonnée sur une année entière. Les nombreuses intempéries comme la neige, le verglas, les inondations, ainsi que des problèmes de santé ont été des facteurs perturbateurs n’ayant pas permis un suivi du travail plus régulier. La période retenue pour cette étude se situe entre le 31 juillet 1998 et le 30 juin 1999 pour l’eau de la résurgence du « Sauerbrunnen » et de la source du « Mont Sainte Odile »
L’eau a été prélevée directement à la résurgence du « Sauerbrunnen », à environ 1,80 m de profondeur et à environ 3 mètres du bout de la cuvette de la résurgence.
Les prélèvements de terre près du « Sauebrunnen » ont été effectués à l’entrée, près de la clôture et près de la source. Cette terre a été prélevée sous les taupinières.
Pour réaliser ce travail sur les deux sites il m’a fallu parcourir environ 1.500 Km en voiture et passer près de 250 heures dans mon laboratoire, devant l’ordinateur et sur les routes pour effectuer ce travail, qui s’est étalonné sur près de 2 ans 1/2.
Les analyses ont été effectuées de façon très méticuleuse au standard officiel et d’après les normes européennes CE des « Bonnes Pratiques de Laboratoire » avec un appareil également aux normes européennes CE.
Histoire et légende du passé
De mémoire d’Homme, le « Sauerbrunnen » a toujours existé. « Sauerbrunnen » est un mot allemand qui signifie « Puits acide » Toutes ces sources et résurgences alsaciennes étaient aussi dénommées « Donner Löcher ». Cette locution allemande se traduit par « Donner = tonnerre » et Löcher = trous » En effet, nos anciens croyaient que ces trouées d’où jaillit l’eau étaient formées par la foudre qui tombait du ciel pendant les orages.
L’histoire aujourd’hui
La source est implantée dans un milieu naturel de toute beauté avec un biotope exceptionnel. Elle est la plus réputée et la plus prestigieuse des résurgences naturelles d’Alsace avec deux autres sources remarquables situées dans le Ried alsacien : la « Belle Source » à 67230 Herbsheim et les « Waechterquellen » à 67600 Hilsenheim.
De nos jours, le « Sauerbrunnen » est la copropriété du CSA (Conservatoire des Sites Alsaciens) et du Lion’s Club Benfeld-
La prairie clôturée attenante en rive droite du ruisseau, appartient en copropriété à l’ANR (Association Nature Ried Erstein) et au CSA. L’ANR est chargée de la gestion et de l’entretien du site.
Observations
La résurgence du « Sauerbrunnen » est de type puits artésien qui crève la couche d’argile. (Lœss) A cet endroit, la nappe phréatique rhénane affleure presque le sol. La couche de gravier qui la compose a environ 120 mètres d’épaisseur. La profondeur de l’eau dans la cuvette est maximale en son milieu et atteint 2,65 mètres. Après une période de tornade le niveau est au minimum 15-
Nous avons aussi observé un trou de ragondin sur le bord du ruisseau. De la boue et des feuilles, restent accrochées à certains endroits dans les parties les plus larges et profondes du cours d’eau.
Le 28-
L’eau de la résurgence est parsemée de mousse en forme de petites éponges naturelles d’écume blanche. Ceci laisse supposer une pollution drainée par la crue. Sur les prairies inondées entre le petit pont du ruisseau de la source et celui de la route du Rhin, nagent deux cygnes et des centaines de mouettes volent et se reposent sur ces eaux.
Le 01-
Cette plante à larges feuilles comporte des fleurs d’un bleu clair en forme de hampe qui fleurissent en général en juin-
Le 30-
De nos jours, les fonds du Sauerbrunnen sont parsemés de bouquets de « Céleri d’eau ou Persil des Rivières » (Erectum Sium) qui n’était pas présent, d’après les observations de M. Seethaler président de l’ANR d’Erstein, dans les années 1972-
L’analyse du sol aux alentours de la source a confirmé nos résultats sur l’eau. Là aussi le sol est actuel-
Le résultat des analyses
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Les jours particuliers
Les jours particuliers retenus ont été les équinoxes de printemps (21-
Nous étions intéressé de savoir si certains jours particuliers pouvaient avoir une influence sur les paramètres de l’eau de la source. Curieusement, nous avons trouvé des valeurs plus élevées que les valeurs normales mensuelles, en Rédox H, rH2 et quantification de Vincent le jour d’équinoxe de printemps le 21-
Que penser de toutes ces modifications ? Les paramètres de cette source sont-
Particularités trouvées
Les paramètres réellement indépendants fluctuent d’une manière aléatoire dans le temps. Une seule exception : la coïncidence entre les deux lieux, « Sauerbrunnen » et « Mont Sainte Odile » le 31 mars 1999. La chute de la conductivité de l’eau des deux sources est brutale ce jour (ou élévation brutale de la résistivité).
Hypothèses
On ne présente plus Madame Jeanne Rousseau. Docteur en pharmacie, c’était la plus proche et ancienne collaboratrice de monsieur Louis Claude Vincent inventeur de la « Bioélectronique » qui porte aujourd’hui son nom.
L’ayant consultée, elle émet l’hypothèse suivante, celle d’un phénomène tellurique. En effet ce jour-
Une autre chercheuse que j’ai consulté, Madame Maria Thun, propose une explication complémentaire, celle du phénomène cosmique. C’est une spécialiste mondialement connue de la vie de la nature. Elle travaille sur l’influence de la météorologie et de la position des planètes sur la germination et la pousse des plantes en agriculture, jardinage, sylviculture et apiculture, tous en bio-
Cette constatation d’un phénomène, soi-
En recherche scientifique on a le devoir d’être objectif et sans retenue. Il serait donc injuste et malhonnête de taire l’opinion de la science officielle. Madame Ch. Nicoli de l’EOST (Ecole et Observatoire des Sciences de la Terre) Université Louis Pasteur Strasbourg, m’a expliqué et communiqué des articles scientifiques qui tendent à prouver que les influences cosmos-
Finalement, je ne me permettrais pas de trancher définitivement et de prendre position dans un sens ou dans l’autre concernant ce curieux phénomène. Je confesse avoir un penchant crédule pour les explications et thèses soutenues par Mesdames Jeanne Rousseau et Maria Thun. La science officielle, dira quant à elle que, pour l’instant il n’existe aucune preuve ou certitude démontrée scientifiquement. L’avenir nous les fournira peut-
Conclusion
Il serait judicieux de continuer à faire au minimum un suivi régulier par des analyses mensuelles de la résurgence du « Sauerbrunnen » en y ajoutant des dosages de facteurs classiques, les principaux polluants chimiques toxiques, les nitrates… et complétés par des analyses bactériologiques. Mon souhait et espoir, voir d’éventuels bénévoles spécialisés dans le domaine de l’eau reprendre le flambeau et continuer à poursuivre mon travail d’analyses de la qualité de l’eau de cette précieuse résurgence de notre patrimoine écologique local.
Cette étude avait pour but de contrôler la qualité de l’eau actuelle du « Sauerbrunnen », résurgence unique dans la région et qui est d’un intérêt tout à fait particulier. Elle servira de base de données et de comparaison aux générations futures leur permettant de poursuivre mes recherches. En plus elle devrait attirer l’attention des générations actuelles sur les problèmes de pollutions des eaux déjà existantes.
Erstein, juin 2001.
Mise à jour, octobre 2002.
Richard HAAS
3, Rue de Wissembourg
67150 ERSTEIN
Du même auteur :
Au cœur de l’eau, l’eau ultra colloïdale et ses mystères
Richard Haas
Editions Bio-
Purifiez votre eau de table, la santé à 100 %
Nadette & Richard Haas
Editions Trajectoire
Comment purifier et revitaliser votre eau de table, guide pratique
Richard Haas
Editions Chariot d’Or
Soigner l’arthrose naturellement
Richard Haas
Editions Grancher
Traducteur principal du livre :
Der Schlüssel des Lebens
Franz Arnoul
Editions Asklepios Reichel Verlag, der Leuchter à D-
Edition française
La clé du vivant, guérir par la thérapie biologique d’après le prof. Dr. Enderlein
Franz Arnoul
Editions Asklepios Reichel Verlag, der Leuchter à D-
Biographie de l’auteur
Préparateur en pharmacie de formation Richard Haas a très vite compris que la pharmacie et la médecine académique ne détenaient pas toute la vérité. Après plus de 33 ans comme cadre technique et responsable de la préparation des solutés injectables aqueux en transfusion sanguine il a consacré tout son temps libre à se former aux méthodes et thérapies complémentaires, le plus souvent en Allemagne pays des Heilpraktiker. Il a ainsi touché à un large panel de différentes disciplines qu’il est ici impossible de tous les citer. Plus particulièrement il a expérimenté différentes méthodes en biorésonance, la radionique, la relation entre maladies et psychisme, la psychosomatique émotionnelle et énergétique, la lumière thérapeutique, la nutrition, les intolérances alimentaires de type IgG, plusieurs méthodes de relaxation, les fleurs de Bach, etc, etc.
C’est dans la recherche du domaine de l’eau qu’il s‘est le mieux exprimé. Il a successivement travaillé sur l’eau et son polymorphisme, l’eau ultra colloïdale, l’eau osmosée et fait des recherches en Bioélectronique de Vincent (B.E.V.) sur l’eau ou il a côtoyé les plus grands scientifiques de cette discipline et a été reconnu par ses pairs pour ses travaux. Il est également auteur de plusieurs ouvrages et conférencier.
L’étude complète sur le « Sauerbrunnen » peut être consultée ou empruntée à la Médiathèque d’Erstein,
ainsi que d’autres ouvrages du même auteur.
Les Archives Municipales d’Erstein possèdent également ce document.
Le site « Erstein 67 »